LA DESIGNATION DU MAGISTRAT, MOHAMADOU MANSOUR MBAYE A LA TETE DE LA COUR SUPREME PAR LE CHEF DE L’ETAT, BASSIROU DIOMAYE FAYE

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Le regard et l’espoir des Sénégalais sont en ce moment fixés dans les reformes et dans l’obligation de décoloniser la justice sénégalaise, bravo !!! et que cela soit appliqué aussi dans tous les domaines car la vision reflète l’avenir tel que nous le souhaitons et c’est valable pour tous les Etats du continent africain.

Oui la rupture et le changement y compris la vision de décoloniser la justice, s’appliquent si nous donnons aussi pour l’instant une telle indication c’est-à-dire ; le dire, la volonté, l’effort et de faire, c’est tout ce qui est nécessaire pour le bon fonctionnement de la façon dont nous le souhaitons et permettront de déboucher aux solutions satisfaisantes pour tout le monde. La robe noire, l’épée et l’émotion personnel liés aux démarches et diagnostiques imposés par le système judiciaire français ne répondant pas au modèle africain, doit être effacé à l’immédiat sur le tableau judiciaire de la justice africaine.

Semer la justice, moissonnez la bonté de cœur de Dieu

C’est la vie des grands hommes de la justice Sénégalaise notamment le défunt Maissa DIOUF décédé en 2017 à Dakar, ancien procureur général près la cour de cassation, Dior Fall Sow première femme procureure du Sénégal après la retraite, comme tant d’autres. Avaient rendu la vie judicaire Sénégalaise sublime avec la maitrise de la carrière et sa garantie déontologique et laisser derrière, les grands hommes comme monsieur Mouhamadou Mansour Mbaye ancien procureur général près la cour de cassation, actuellement nommé président de la cour suprême de Dakar par le président de la république du Sénégal son excellence Bassirou Diomaye Faye.

Il fait partie de la promotion que j’appellerai, la promotion spéciale de cette grande institution de l’ENAM, qui a fait de l’actualité au Sénégal à l’époque du ministre de la justice monsieur Jacques Baudin décédé en 2018 à Dakar. C’était la période marquée par l’ancien procureur Maissa DIOUF le solutionniste ou encore le résolveur du problème ; s’était mis d’une façon personnelle à la reprise de la correction des copies, pour suspicion de fraude. Et, le résultat obtenu était censé certifier les mérites distingués.

L’indépendance du pouvoir judiciaire à tout prix

Je voudrais vous faire part de mon analyse de la situation des reformes aux autorités globales du Sénégal, qu’Aujourd’hui pourquoi décoloniser la justice ? parce que nous avons constaté que malgré des multiples reformes récurrentes, ne sont jamais acquises, c’est la raison pour laquelle il est préférable de décoloniser le système judiciaire Sénégalais bref en Afrique. La proposition permet de mettre des nouvelles perspectives à partir du droit positif et droit coutumier africain.

Je m’engage dans la production et circulation des idées innovantes et la transformation au profit général de tous les Sénégalais et de toute l’Afrique entière, pourquoi pas le monde entier.

Bamba Soleil BAAH BAAH

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