La grande polémique du concert de Camtel le 30 décembre au stade de la réunification de BEPANDA à Douala au Cameroun, dans le cadre de la promotion de son produit blue star comme tête d’affiche l’artiste de la RDC FALLY IPUPA.
L’être-ensemble des Camerounais au soutien et valorisation de sa culture et de leurs artistes n’existe pas comme en RDC. Le monde du showbiz : malgré l’absence de l’être- ensemble des artistes aussi ; est le conflit chronique ; un mal nécessaire pour les artistes dans le monde entier, mais qui n’empêche pas certains de se démarquer, alors dans la catégorie rendons à César ce qui lui appartient. Camtel, promoteur ou encore producteur ont le droit chacun de porter son choix à l’artiste en période de son succès pour des raisons économiques et commerciales, Le showbiz n’a pas de frontière, pas de fermeture. C’est le mystère de la culture et sa vibration. C’est l’acte divin de la création de l’artiste, un moment d’amour et de travail acharné afin de faire mouche et de connaitre le succès qui charment en premier lieu le public et enfin les producteurs, les entreprises comme Camtel et promoteurs.
La puissante machine musicale en RDC rend la culture Congolaise célèbre simultanément avec leurs artistes, forcement leurs œuvres sont les plus sollicitées
Au pays de FALLY IPUPA, même les mamans qui ont les petites tables et kiosques de vente au bord de différentes routes, rues et quartiers soutiennent leurs artistes financièrement, matériellement et moralement quel qu’en soit le niveau du jeune musicien et comédien etc. Rencontrent aussi trop de traquenards entre collègues FALLY a subi aussi le phénomène. Il gagne les cachets de prix exorbitant aujourd’hui mais hier, empruntait jusqu’aux chaussures chez les fans et connaissances pour aller prester lors du concert et c’est la religion de tout artiste au Congo sans moqueries. Contrairement aux peuples Camerounais qui brocardent leurs artistes sans le soutien et les autorités Camerounaises de toutes générations qui ont réussi à semer ce désordre dans le pays contre les artistes pour des raisons du pouvoir et certains enfants du grand Cameroun n’ont rien compris.
Les Camerounais doivent d’abord aimer et encourager dans le vrai sens du mot leurs artistes et la culture comme le font les congolais, les Nigérians c’est le secret. Ils sautent ou profitent des occasions pareilles comme celle-ci pour montrer au monde qu’ils soutiennent ceux-ci c’est archi -faux. Le soutien moral, l’amour de sa culture, prête à la compétition culturelle continentale et mondiale est nécessaire pour un peuple c’est le secret en RDC. De ce fait, les artistes camerounais produiront des œuvres du succès qui leurs permettront continuellement d’être sollicités par des entreprises Camerounaise et des mécènes camerounais et partout dans le monde comme FALLY IPUPA, Richard Bona et à l’époque comme le feu Manu Dibango etc.
Polémiques, travail et l’esprit du groupe ainsi que la discipline et l’esprit de compétion
FALLY s’est accroché et aussi comme chaque musicien au Congo bénéficiant au côté de celui qui essaye de sortir la tête vers le succès national et international. Au Congo les groupes musicaux sont des entreprises ben structurées et discipliner avec chaque groupe son bureau d’administration décentralisé et sous d’autres cieux en Afrique comme en occident dans l’esprit du groupe. Il a été à proximité du grand KOFFI OLOMIDE son ex- président du groupe quartier Latin pendant plusieurs années, mais tenez-vous tranquille avant d’arriver chez KOFFI c’était l’endurance. Aujourd’hui il est le président d’un groupe musical en RDC chose qui n’est pas facile avec beaucoup d’enjeux, de réalités et de sacrifices. Au Cameroun c’est le contraire c’est tout le monde qui est leader chose qui n’est pas vrai et les Camerounais payent le prix aujourd’hui.
Le choix et la mentalité
Les artistes Congolais de souche qui sont des superstars pratiquant le rythme des ancêtres congolais comme KOFFI, FALLY, Werrason, PIANA, ferré etc. sont installés tous à Kinshasa. Savent que dans cette catégorie pour réussir sa carrière il faut rester dans l’univers des traditions et coutumes ainsi qu’aux bruits des oiseaux et des eaux africaines pour être inspiré davantage. Au Cameroun c’est le contraire pour la majorité des artistes du cameroun.
Je m’engage dans la joie du sport et de l’art qui incarnent l’unité contre le racisme et des inégalités dans le monde
Bamba Soleil BAAH BAAH