ELECTIONS L’EGISLATIVES AU SENEGAL : EXAMEN DE CONSCIENCE DES ELECTEURS.

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L’objectif de la campagne électorale est dans le but de récolter le plus grand nombre de vox possible surtout le politicien, et l’électeur doit aussi se montrer vraiment curieux de savoir qui il veut voter et la priorité ce qui se passe sous la surface. Bref l’électeur africain doit également essayer de penser à quelques étapes à l’avance, à ce qui se passe dans la vie quotidienne des populations et à ce qu’il peut voir venir.

Le cas du Sénégal dans le contexte des élections législatives anticipées 2024, qu’est-ce qui se passe sous la surface ? à noter que le 12 septembre son excellence Bassirou Diomaye Faye a dissous l’assemblée nationale et a annoncé la tenue des élections législatives anticipées au 17 novembre prochain. Les candidats de 41 listes de coalitions et partis politiques en pleine campagne afin de faire appel à des arguments et sentiments proposés aux électeurs. Malheureusement cette société peine à s’en sortir au quotidien.

Le pouvoir actuel du Sénégal du côté présidentiel vise une majorité de 3/5è des sièges pour adopter son programme dans les 165 sièges au parlement après sa victoire en mars 2024 à la présidentielle avec 54 % des voix.

 Ne regarde pas où tu es tombé mais où tu as glissé

Proverbe africain, selon mes analyses, l’examen de conscience des électeurs Sénégalais est de se préserver et ne doivent pas être naïfs aux arguments et sentiments que proposent certains politiques pendant cette campagne des élections législatives, plutôt considérer le contexte économique et financier difficile en ce moment dans le pays, qui indique que monsieur Macky Sall avait glissé avec tout son ensemble. Ce que nous pouvons rappeler au pouvoir sortant, nous africains, qu’il est très nécessaire de nourrir sa réputation sur le long terme sur terre.

Les héros sont ceux qui font la paix et qui construisent

En ce moment le parti au pouvoir dispose 23 députés pastef au parlement et celui-ci est dans le bien, beau et le juste pour l’instant et veille à l’application des sanctions administrées afin de redonner de l’ordre de façon général, aussi dans les comptes et d’opérer une bonne réorganisation. Et, sans doute vous remarquerez que le site d’information topkilonews.com vous livre plus du journalisme de solutions lié au panafricanisme afin de révéler ce qui ne vas pas.

C’est facile de tout casser et de détruire

Aujourd’hui si l’opposition et la société civile ne peuvent pas se rappeler que, compte tenu des évènements politiques et tragiques qui se sont produits liés à la grave crise politique au Sénégal sous le règne de monsieur Macky Sall, y compris des vagues de détournement de fonds, on peut voir, en effet une économie difficile qui semble valider le fait que le pays est au bord du gouffre. Que le présent est particulièrement difficile à vivre et que l’avenir apparait encore plus sombre, notamment sur le plan de la pauvreté dans le pays. Entre les uns qui sont actuellement au Sénégal et les autres à l’étranger, arrivent aux mêmes conclusions sur les dangers de ceux qui possèdent des milliards de francs CFA des Sénégalais sans justification. Dans ce genre d’égoïsme, le bonheur n’est plus un état d’esprit universel, les Sénégalais sont-ils heureux ? les africains sont-ils heureux ? en temps de détournement de fonds, en temps de guerres, de famine et de misère ?

« Alors le très peu d’avancées du pouvoir actuel sur les questions de reformes, de l’adoption des différents actes budgétaires et celle de la discussion de la politique gouvernementale est justement dans la logique de ceux qui font la paix et de construisent. Soyons honnête et cela prend du temps tandis que le pouvoir de Macky Sall était dans la logique de c’est facile de tout casser et de détruire » !!!

Le visage hypocrite de la politique française qu’a adopté les élites africaines contre leurs peuples

Le contexte des législatives 2024 au Sénégal illustrent clairement que le parti politique pastef est en face de trois grandes coalitions d’opposition, notamment Takku Wallu du président sortant qui a le courage d’annoncer sur le média français RFI, accusant ses successeurs d’avoir mis le Sénégal dans une situation catastrophique et fait campagne à distance depuis le Maroc. Il convient cependant de reconnaitre du fait qu’il existe un décalage entre la réalité et de ce que dit le président sortant Macky Sall je cite « atteste avoir laissé le Sénégal en bon état de marche » et nous ne pensons pas que le peuple Sénégalais est dupe. Une autre coalition Jamm ak Jarim avec l’ancien Premier ministre Amadou Ba et Sam Sakadu du maire de Dakar de Barthélemy Diaz tous tête de listes.

Les biais de l’observation et reflexes négatifs

Le colonialisme avait exécuté toutes nos élites africaine et imposants simultanément la modification de l’état mental des africains et c’était les décisions de ne pas s’y opposer. Aujourd’hui ce n’est plus le cas et nous allons toujours s’y opposer à cette idéologie. Par malheur, nous observons aussi au Sénégal les séquelles de ces réflexes négatifs par exemple : les déclarations d’intérêts de Macky Sall ancien chef d’Etat sénégalais depuis le Maroc en oubliant tout ce qu’il a causé dans tout le pays lors de la crise politique, c’est valable aussi à certains opposants sénégalais qui ont aussi l’allure de faire la politique du ventre en protégeant leurs legs mal acquis. Ce qui veut dire le reste on s’en fout même s’il existe des personnes rendues vulnérables et qui ne parviennent pas à subvenir aux besoins de santé.

Mais une bonne nouvelle, le politicien africain doit comprendre que la naissance de la première puissance africaine médiatique de solution c’est topkilonews, nous tend vers une société où tout doit être contrôlé.

Je m’engage dans la production et circulation des idées innovantes et la transformation au profit de l’intérêt général de tous les Sénégalais et de toute l’Afrique entière, pourquoi pas le monde entier.

Bamba Soleil BAAH BAAH

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