Les Mauritaniens sont dans une température de l’élection présidentielle qui débute avec rappelle de mauvais souvenirs, je cite « l’élection législative très contestée en mai 2023 sans ignorer le phénomène de l’esclavage depuis des décennies et en 2024 selon les candidats à la présidentielle accusent l’organe de surveillance du scrutin de partialité ».
En Afrique toute entière aucune élection surtout la présidentielle ne peut se dérouler sans aucune manigance du président sortant. Les chefs d’Etats africains jusqu’au 21ème siècles reçoivent des ordres qui sont en défaveur des citoyens etc.
Le président Mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani rencontre la contrattaque de l’opposant Biram Ndah Abeid du premier parti de l’opposition du tawassoul et le professeur Outouma Soumaré tous candidats à l’élection présidentielle 2024, persistent et déclarent de ne pas reconnaitre l’observatoire de cette élection présidentielle mise en place pour une raison valable. Du fait qu’ils manifestent, de ne pas avoir été invité lors des derniers échanges à ce sujet. Posez-vous des questions le pourquoi les leaders de l’oppositions n’ont pas été convoqués parmi les sept candidats de l’opposition déclarés ?
En Mauritanie le droit et la religion
Selon l’histoire, malgré la guerre de charr Baba de 1644-1674, l’islamisation du Sahara au XIe siècles jusqu’à notre ère, la religion musulmane s’installe en Mauritanie et elle accède à son indépendance le 28 novembre 1960. La religion musulmane est le dominateur commun des tribus telles que Maures, berbères ou africaines comme l’identité du pays, un an avant l’indépendance le 22 mars 1959. Le père de la Nation Moktar Ould Daddah a dirigé ce dominateur commun appelé la République Islamique de Mauritanie de 1960-1978. Cette cartographie ethnique des invasions arabes telles que les nomades berbères venus du nord du Maghreb et les agriculteurs africains venus du Sénégal qui ont connu le choc des corps pour des intérêts, sans oublier les Banu Hassan puis les Banu Magil et dans l’Asaward Mali, Niger etc. Selon le journaliste Bernard Nantet dans son ouvrage « le Sahara, histoire, guerre et conquêtes ».
Ces différents conflits ont augmenté les traces du racisme et de l’esclavage dans le pays surtout les invasions arabes ; la situation oblige de se poser la question qu’être chef d’Etat ou politicien dans un pays n’est pas seulement organisé les élections, mais c’est aussi de ne pas ignorer les cas isolés comme l’esclavage qui a pris une autre forme moderne dans cette nation de l’Afrique de l’Ouest vu de son histoire de brassages ethniques, qui n’a pas de statistique officielles sur l’empleur du problème.
Prendre l’orientation du laisser-aller à la destruction de l’humanité entraine les conditions de vie en communauté aux désastres pour la déconstruction. La frustration c’est de ne pas garder en mémoire que c’est l’homme qui donne sens aux choses et sa vérité, alors le chef de l’Etat donne également naissance à l’amélioration des conditions de vie des personnes en tant que président d’une république Islamique et démocratique.
Lutte de tous contre tous est la folie de querelle
La République Islamique de Mauritanie fait partie des pays au monde qui pratiquent toujours l’esclavage au 21ème siècles, une phénoménologie approfondie au regard de toutes les victimes.
Monsieur le président, en réalité seul le pouvoir du peuple par le peuple qui choisit ceux qui le gouverneront et une fois au pouvoir doivent s’intéresser et tenir à cœur à ceux qui sont marginalisés, dans le contexte de l’esclavage dans le pays. Vous et vos prédécesseurs, devriez trouver votre bonheur en acceptant de jouer le franc jeu d’un vrai ordonnateur et arbitre pour le bien être de ceux-ci, qui permettraient d’effacer ce tableau malheureux de l’esclavagisme chez vous depuis des années. Malheureusement l’on constate l’absence de réelle volonté politique d’y mettre fin à ce phénomène de la violence et honteux pour les africains.
L’économie, l’enjeu de la présidentielle mauritanienne 2024
La campagne présidentielle de deux semaines qui s’achève le27 juin pour une élection présidentielle du premier tour le 29 juin en République Islamique de Mauritanie et sept candidats sont déclarés. Comme dans tous les pays de l’Afrique, l’économie est devenue l’un des enjeux du scrutin présidentiel et pourtant la Mauritanie bénéficie aussi de nombreuses ressources. Mais la pauvreté touche encore les femmes et les jeunes à cause d’une répartition inégale c’est le danger de la société aujourd’hui du continent.
Je m’engage dans la production et circulation des idées innovantes et transformation au profit général de tous les Mauritaniens et de toutes l’Afrique entière, pourquoi pas le monde entier.
Bamba Soleil BAAH BAAH
